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la-prostitution-masculine 1 2 3 4 5 6 7 8 9 suivant fin samedi 7 juin 6 07 / 06 / juin 01:36 soirée triste sans clients...la pluie plus email lien imprimer par la-prostitution-masculine-gay - publié dans : solitude & ses "mefaits" ecrire un commentaire 0 - voir le commentaire - voir les 0 commentaires samedi 7 juin 6 07 / 06 / juin 01:31 les demandes speciales : accompagnement a la flute ca va t'arriver tu verras plus email lien imprimer par la-prostitution-masculine-gay - publié dans : rendre service ecrire un commentaire 0 - voir le commentaire - voir les 0 commentaires vendredi 6 juin 5 06 / 06 / juin 15:05 pourquoi et comment il fait la pute ,? je ne sais ce qui m'a pris, mais je l'ai suivi, je voulais lui parler, savoir, mais je ne voulais pas lui faire peur. je l'ai suivi de loin, il a contourné plusieurs pâtés de maison, repassant deux fois aux mêmes endroits. c'était sûr il m'avait vu le suivre. dans une rue déserte, il se retourna et me fit face... de longs et puissants jets de sperme s'abattirent dans mon fondement. il hurlait de plaisir. je n'aurais pas imaginé qu'il devienne aussi bruyant et grossier. il a pris son pied. il resta en moi, puis se retira alors qu'il bandait encore, se présenta devant moi et m'enfonça sa bite dans la bouche. les semaines passèrent et plus rien, ni travail, ni rencontre, mes masturbations reprirent. alors que je ne m'y attendais pas du tout, je suis tombé nez à nez avec jean-philippe en pleine rue. − bonjour marc. − bonjour jean-philippe. − tu te promènes ? − oui et non, je cherche du boulot. − ce n'est que ça, il faut patienter. qu'attendais t'il par « que ça ». je ne savais que pensais. déjà, il me parlait, c'était pour le moins bizarre. − j'aimerai te parler, mais pas dans la rue ! − ou ? − tu peux venir ce soir chez moi ? − chez toi ! − oui chez moi, je serai, normalement seul entre 20 et 21 h, si c'est le cas j'attendrais à l'entrée, surtout ne sonne pas. si tu ne me vois pas à 20h05, c'est qu'il y a du monde, on verra alors plus tard. − d'accord, pour moi c'est possible. je n'en revenais pas, il m'a parlé et de plus il veut que j'aille chez lui, alors que pendant 19 ans je n'y suis jamais allé. cette affaire me sembla louche. a coup sur l'histoire du parc l'obligeait à me voir. je devais être prudent, il me plaisait, mais ça ne fait pas tout. de plus c'était notre voisin, et je ne tenais pas à avoir de problème. pour l'instant, en dehors de mon frère, les parents ne savaient pas que j'étais gay. une première approche récemment, me fit conseiller la prudence. je pensai bien leur dire, mais je voulais avoir mon indépendance financière, donc avoir un appart, ce qui dans l'immédiat n'était envisageable qu'au prix de multiples privations. le soir venu, je suis allé à 20h devant son entrée, il m'attendait en jogging. − entre, je suis seul pendant une heure. allons dans ma chambre. je l'ai suivi, contrairement a ce que je pensais, nous n'avons pas pénétré dans la maison par l'entrée principale, nous avons fait le tour de la bâtisse, il y avait un escalier en colimaçon, il ouvrit la porte donnant accès à une petite pièce. − enlève tes chaussures s'il te plait. il fit de même et ouvrit la porte donnant sur sa chambre. elle n'avait rien a voir avec la mienne, deux fois plus grande, un grand lit en bois ancien, des meubles de style de la moquette et des tapis partout. il me fit assoir sur un fauteuil, m'offrit une boisson et prit place en face de moi. − tu te doutes pourquoi je t'ai demandé de venir ? je fis l'innocent. − non. − l'autre soir, tu m'as vu sortir du parc de … ? − oui. − tu sais ce qui s'y passe ? − j'ai entendu des choses, mais je ne sais si c'est vrai. − c'est un lieu de rendez-vous. − il y a des filles ? − peut être mais surtout des garçons. − tu es allé voir un garçon ? − oui, j'ai eu une relation avec lui, une seule fois. − pourquoi m'en parles-tu ? − je voudrais m'assurer que tu n'en parles à personne. − je ne vois pas pourquoi, j'en parlerai, c'est ta vie. − depuis que je sais que tu m'as vu, je ne sais plus quoi faire. le soir ou tu m'as vu c'était une prise de contact avec un jeune. on s'est donné rendez vous pour quelques jours plus tard. j'avais envie, il a été honnête, mais j'avais honte de moi. − parce que, tu as eu une relation avec le jeune, ou parce que tu aimes les garçons ? − je suis attiré par les garçons, mais dans mon milieu, ce n'est pas très bien admis. quand au jeune je l'ai sodomisé, mais je n'ai pas eu de plaisir particulier. je lui ai permis de se masturber, peut être qu'il aimait, je l'ai bien payé. tu sais tout. − je te remercie de ta franchise, aussi je me dois d'être franc avec toi, je savais toute l'histoire. nous n'avons jamais eu de relation de voisinage, même, tu t'es toujours montré hautin, même dédaigneux envers moi. il y a longtemps que j'en avais pris mon partie. quand je t'ai vu sortir du parc, j'ai voulu savoir. j'y suis allé plusieurs soir à attendre, quand je t'ai vu je t'ai suivi, j'ai vu ce que tu as fait. mais ça ne change rien au fait que c'est ta vie. je peux t'assurer de ma discrétion. − tu as tout vu ? − oui, je t'ai vu et entendu. ça c'est passé comme tu as dit. comme tu as été franc sans chercher à biaiser, je suis honnête avec toi. − pourquoi m'as tu surveillé ? − simple curiosité, pas dans un esprit de méchanceté, ce n'est pas mon genre. après t'avoir vu, je me suis dit que même les riches ont des soucis. − tu pourrais essayé de me faire chanter, me dénoncer aux parents ! − tu ne me connais pas, ça se voit, l'argent, j'en ai peu, mais je le gagne honnêtement. de plus, il faudrait prouver que ça a eu lieu, encore que ça je pourrais. mais je te le redis ce n'est pas mon genre. tu aimes les garçons ? − oui, que les garçons hélas, mais je n'ai eu qu'une relation et tu la connais. je peux te faire confiance ? − oui, je vais te montrer quelque chose et tu comprendras mieux pourquoi tu peux avoir confiance. comme moi j'attends, ta confiance après ce que tu vas voir. je me suis levé, j'ai baissé mon short et mon slip. j'étais debout devant lui le sexe à l'air, mais surtout rasé intégralement. il écarquilla les yeux. je me suis rhabillé. − tu te prostitue ? − non pas du tout, mais je suis homo et j'assume, mes relations sexuels ne sont que consenties et non lieu qu'avec des personnes avec qui au moins il y a un certain feeling, voir amitié. d'autres critères entre en ligne de compte. − pourquoi tu me le dis ? − tu es honnête, donc je peux te faire confiance, et ceux-ci peux te rassurer, je suis comme toi. ne crois pas que ce me sois facile, mes rencontres sont, hélas, rare. je ne conçois que des relations acceptées par les deux parties. la pratique dépends des désirs de l'un et de l'autre. il est hors de questions que je paye pour une relation, ce n'est pas une question d'argent, mais uniquement, je pense qu'on ne peux pas avoir de plaisir, autant se masturber, ça fait autant d'effet. d'ailleurs tu en as fait l'amère expérience et pourtant le gamin était mignon. − c'est vrai, ça a été un fiasco, bien sur j'ai joui, mais en me masturbant aussi. tu aurais pu le dire sans te montrer a demi nu ! − m'aurais tu cru ? − en effet, j'aurais été inquiet. bien évidemment, tu peux être sur de ma discrétion! je peux te poser une question ? − bien sur! − pourquoi tu te rases le sexe si tu ne te prostitue pas ? − je me rase le sexe et le cul pour deux raisons. premièrement quand ton partenaire te fait une fellation, qu'il passe sans langue sur ton anus et qu'il te sodomise, il n'y a aucun désagrément avec les poils qui rentrent dans la bouche. et deuxièmement, les zones rasées s'avèrent être très érogènes, multipliant de fait les plaisirs. − j'aimerai te poser d'autres questions, accepterais tu de venir m'en parler une autre fois ? − si tu veux, ici ? − oui, je te tiens au courant, merci pour ta franchise. trois quarts d'heures plus tard, je repartais, il m'accompagna jusqu'au portail et me serra la main. quels progrès en si peu de temps. son comportement avait chan